MADOFF

SERIE USA - 2016
Série arnaco-politique
produite et réalisée par 
Ben Robbins
2 parties de 90 mn

Résumé... Madoff est une mini-série américaine en deux parties de 90 mn basée sur la vie de Bernard Madoff, 
courtier américain qui ruina des milliers d’Américains dans une arnaque boursière sans égale, aux conséquences dramatiques sur sa famille, ses associés et ses clients...

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…

J'ai aimé voir l'arnaque de l'intérieur, entrer dans le personnage de cet illusionniste en col blanc, approcher la crédulité des victimes miliardaires. Et puis j'ai enfin compris ce qu'est une pyramide de Ponzi (recruter des ­nouveaux « gogos » dont les placements servent à financer les intérêts des précédents). Si l'histoire, telle qu'elle s'est passée sous le nez des meilleurs analystes financiers, avait été inventée on aurait du mal à croire à sa véracité. 
Je me suis régalée parce-que l'histoire est vraie, incroyable mais vraie, illustrant dramatiquement le pouvoir de l'argent...



La presse en parle...
LeMonde.fr : "... A la fin de la seconde partie du téléfilm, le réel rejoint la fiction puisque l’on voit, montrés côte à côte, le portrait des personnages principaux de l’affaire et leurs incarnations à l’écran : comme dans ­American Crime Story : The People vs O.J. Simpson, en cours de diffusion sur Canal+, leurs proximités physiques sont étonnantes. Notamment en ce qui concerne Ruth Madoff, jouée finement par Blythe Danner (la mère de l’actrice Gwyneth Paltrow).
Richard Dreyfuss (qui, après avoir chassé le requin dans Les Dents de la mer, en incarne un plus vrai que nature) est moins ressemblant à son modèle. Mais il compose un « Uncle Bernie » fascinant, dont la riche gamme de jeu – du patelin au cynique – fait tout le prix d’un téléfilm de bonne qualité..."

Voir le teaser…>>


En savoir plus...
Les infos complètes sur Wikipédia…>>
Le site officiel...>>

THE KNICK

SÉRIE USA - 2014
Série série médicale en costumes,
produite et réalisée par Steven Soderbergh
 (Sexe, Mensonges et Vidéo; Erin Brockovich, seule contre tous; Traffic; Ocean's Eleven...)
02 saison - saison 02 en tournage

Résumé... The Knick -abréviation de "The Knickerbocker Hospital" qui a fermé ses portes en 1979- nous emmène partager le quotidien du staff de l'hôpital Knickerbocker de New York, où chirurgiens et infirmières tentent de repousser les limites de la médecine en usant de méthodes peu orthodoxes, à une époque où le taux de mortalité est encore extrêmement élevé.


Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…

Sans doutes faut-il être un peu hypocondriaque, avoir toujours révé de faire médecine, ou être passionné de biomécanique et de physiologie pour apprécier le récit historique de la chirurgie moderne qui nous est montré ici ? Non, même si vous tombez dans les pommes devant la moindre goutte de sang, et malgré la scène d'ouverture sur une césarienne qui finit très mal (un carnage !), vous n'allez pas pouvoir faire marchine arrière ! Et vous allez aimer Clive Owen, en Dr John « Thack » Thackery, séduisant génie de la chirurgie et cocaino-addict ; vous voudrez soutenir Andre Holland, chirurgien noir rejeté pour la couleur de sa peau et tout savoir des secrets d'alcôves de cet hôpital... Je n'oublie pas les trois principaux rôles féminins : histoires d'amour pour les magnifiques Juliet Rylance et Eve Hewson ou de conscience pour Sœur Harriet ...
Déjantés et passionnés dans #TheKnick ? Ah oui ils le sont, mais il fallait l'être pour inventer la césarienne, oser l'appendisectomie ou imaginer une auto-greffe de peau...

La presse en parle...
Telerama.fr/series-tv : "...“The Knick” : Soderbergh à bloc... Avec cette série médicale sur la naissance de la chirurgie moderne, Soderbergh entraîne Clive Owen dans le sombre et l'intense...«Vous êtes un fou», lâche une femme à Thackery. «C’est de la folie, mais méthodique», lui réplique-t-il. De la folie, et de la boucherie. The Knick, série médicale en costumes, raconte la naissance de la chirurgie moderne, à une époque où une vilaine fracture vous coûtait la jambe et une mauvaise fièvre la vie... En plongeant un siècle en arrière, Steven Soderbergh (producteur et réalisateur ; la création de la série revient au duo Jack Amiel et Michael Begler) apporte du sang frais au genre et saisit, à son point de départ, l’excitation, le stress du bloc, le souffle dramatique aux accents techniques qui portaient Urgences et les meilleures fictions médicales.
Surtout, il n’oublie pas de se reposer sur des personnages forts, à commencer par le Docteur Thackery – que l’on a envie, un instant, de comparer à Gregory House, caractère solitaire et addiction aidant. Autour de lui, une palette de chirurgiens et un personnel médical qui gagne en épaisseur à chaque épisodes"

Series-tv.premiere.fr : "... Du côté de la réalisation, la pâte de Soderbergh est indéniable. Le cinéaste nous propose une multitude de plans rarement choisis dans des séries, à quelques exceptions près (comme True Detective par exemple). En lieu et place des habituels plans américains ou rapprochés utilisés pour capturer une conversation, on découvre, particulièrement dans des séquences en extérieur, des plans d’ensemble qui permettent au spectateur de mieux saisir, tel un passant, le tumulte et la confusion qui régissaient les rues de New-York en 1900. Egalement directeur de la photographie, Soderbergh utilise un filtre froid, à l’image de ce qu’il a fait dans Traffic, qui convient avec justesse à l’atmosphère morose de l’époque..."

Voir le teaser…>>



En savoir plus...
Les infos complètes sur Wikipédia…>>
Le site officiel...>>









Nominations Golden Globes 2015

Quand tu réalises que dans les nominés pour les #GoldenGlobes2015 et les #Oscars2015
se trouvent exclusivement les séries que tu as VRAIMENT AIMEES,
sur lesquelles tu postes, tu tweetes, et tu publies, tu te dis quoi ?
Que ton parti pris de ne parler que de ce que tu aimes t'a fait économiser de l'encre ?
Oui, mais encore ?  ;-)

 Le blog séries TV de Chablabla


Découvrez les nominations aux 72ème Golden Globes, cérémonie de récompenses de l’anti-chambre des Oscars. La soirée aura lieu le 11 janvier 2015







Catégories Télévision
Meilleure série dramatique

Meilleure actrice dans une série dramatique
Claire Danes – HOMELAND
Viola Davis – HOW TO GET AWAY WITH MURDER 
Julianna Margulies – THE GOOD WIFE
Ruth Wilson – THE AFFAIR
Robin Wright – HOUSE OF CARDS

Meilleur acteur dans une série dramatique
Clive Owen – THE KNICK
Liev Schreiber – RAY DONOVAN
Kevin Spacey – HOUSE OF CARDS
James Spader – THE BLACK LIST
Dominic West – THE AFFAIR

Meilleur téléfilm ou mini-série
FARGO
THE MISSING
THE NORMAL HEART
OLIVE KITTERIDGE 

Meilleur acteur dans un téléfilm ou mini-série
Martin Freeman  - TRUE DETECTIVE
Woody Harrelson - TRUE DETECTIVE
Matthew McConaughey - TRUE DETECTIVE
Mark Ruffalo – THE NORMAL HEART
Billy Bob Thornton - FARGO

Meilleure actrice dans un téléfilm ou mini-série
Maggie Gyllenhaal THE HONOURABLE WOMAN
Jessica Lange – AMERICAN HORROR STORY
Frances McDormand – OLIVE KITTERIDGE
Frances O’Connor- THE MISSING
Allison Tolman - FARGO

Meilleur second rôle masculin dans une série, mini-série ou un téléfilm
Matt Bomer – THE NORMAL HEART
Alan Cumming – THE GOOD WIFE
Colin Hanks – FARGO
Bill Murray – OLIVE KITTERIDGE
Jon Voight – RAY DONOVAN

Meilleur second rôle féminin dans une série, mini-série ou un téléfilm
Uzo Aduba  – ORANGE IS THE NEW BLACK
Allison Janney – MOM
Kathy Bates – AMERICAN HORROR STORY
Joanne Froggatt – DOWNTOWN ABBEY
Michelle Monaghan – TRUE DETECTIVE

Meilleure série comique
GIRLS
JANE THE VIRGIN
ORANGE IS THE NEW BLACK 
SILICON VALLEY 
TRANSPARENT

Meilleur acteur dans une série comique
Louis C.K. – LOUIE
Don Cheadle – HOUSE OF LIES
Ricky Gervais – DEREK
William H. Macy – SHAMELESS
Jeffrey Tambor – TRANSPARENT

Meilleure actrice dans une série comique
Lena Dunham – GIRLS
Edie Falco – NURSE JACKIE 
Julia Louis-Dreyfus – VEEP 
Gina Rodriguez – JANE THE VIRGIN 
Taylor Schilling – ORANGE IS THE NEW BLACK

 

THE AFFAIR

SÉRIE américaine dramatique - 2014
Série créée par Sarah Treem et Hagai Levi

02 saisons - saison 02 en tournage







Résumé... Écrite par Hagai Levi, le créateur de EN ANALYSE, et Sarah Treem, scénariste de EN ANALYSE et de HOUSE OF CARDS, THE AFFAIR explore la crise traversée par deux couples face à une liaison extraconjugale. Les dix épisodes offrent une double approche émotionnelle de chaque couple en développant deux points de vue. Dominic West, lauréat d'un BAFTA pour son interprétation de Richard Burton dans LIZ TAYLOR ET RICHARD BURTON - LES AMANTS TERRIBLES et unanimement salué pour son interprétation dans la série SUR ÉCOUTE, incarne Noah face à Ruth Wilson (Alice Morgan dans LUTHER) qui prête ici ses traits à Allison. Maura Tierney (Abby Lockhart dans URGENCES) et Joshua Jackson (FRINGE) interprètent leurs conjoints respectifs. Mark Mylod, réalisateur de nombreux épisodes d'ENTOURAGE et de SHAMELESS, assure la mise en scène et participe à la production exécutive.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
C’est à quatre mains, un homme, une femme, que cette relation extra-conjugale nous est contée. Vue de mars, vue de vénus… l’aventure de l’homme et de la femme, éternelle, intemporelle. La fugacité de ce désir qui nous pousse parfois si loin de nos convictions et de nos promesses. Jusqu’où l’engagement à l’autre ne finit-il pas par nous éloigner de nous-même ? Dès les premières minutes on sait qu’on est là, au cœur de nos contradictions et de la difficulté à être à deux, à rester un couple…
IL raconte, on voit le film de l'histoire se dérouler. Et en milieu d’épisode, un break nous ramène au début, et c’est ELLE qui raconte. Le même moment de leur aventure, selon qu’il est ressenti et raconté au masculin ou au féminin, n’est pas le même. C'est terrifiant... 
Nous semblons de la même espèce, vous les hommes, et nous les femmes, mais c’est un leurre, un tour de dame nature qui, joueuse, nous a réunis dans la même espèce, avec des sensibilités aux antipodes les unes des autres. Mais, la vraie grande entourloupe, c'est qu'elle a aiguisé nos appétits pour que nous n’ayons qu’un seul et puissant désir, récurrent, énorme, tout le temps : nous plaire, nous renifler, nous aimer… 
C’est ça la vraie «affaire» !
Quelle belle idée d’explorer la tromperie en double scénario. De quoi devenir quand même un peu schizophrène dans la vraie vie…

La presse en parle...
Télérama.fr : "«The Affair» s'attache à une liaison aux conséquences obscures. Un récit intrigant au casting quatre étoiles..."

serieTv.blog.LeMonde.fr : "Rencontré très brièvement à Paris, le créateur de « The Affair », l’Israélien Hagai Levi (auquel on doit la formidable série « En analyse ») commente son projet : « Chacun des dix épisodes de cette première saison est structuré de la même manière, avec une partie narrée par Noah, l’autre par Alison. On brûle toujours de savoir, quand on tombe amoureux de quelqu’un, marié ou pas, comment l’autre vit cette relation. Que pense, ressent et voit réellement l’autre, qu’il s’agisse de moi mais aussi du monde qui l’entoure ? Et comment vit l’autre lorsque nous ne sommes pas ensemble ? C’est ce que j’ai rêvé de faire avec “The Affair” : que l’on vive l’histoire de l’attraction non voulue entre deux êtres du point de vue de chacun. » Ce qui permet d’engager le téléspectateur sur de fausses pistes selon les versions proposées, et de l’intriguer à l’extrême…"

Lesinrocks.com : "La première demi-heure laisse augurer une petite aventure banale, solaire, tout juste contrariée par deux événements morbides que nous tairons. Jusqu’au moment où (attention, inévitable spoiler) le spectateur comprend qu’il a perçu l’intrigue depuis un seul point de vue. Celui de l’homme. Alors, la perspective bascule et c’est la vision de la maîtresse potentielle que l’on adopte. Lui la montrait sexy, légère, joyeuse en robe courte. On la découvre endeuillée, triste, hésitante. Tous deux, on le comprend de plus en plus clairement, racontent leur histoire à un flic..."

Voir le teaser…>>

Les infos complètes sur Wikipédia…>>
Le site officiel...>>

MASTERS OF SEX

séries TV Cha regarde trop de sériesSÉRIE américaine dramatique - 2013
Série créée par Michelle Ashford 

03 saisons - saison 03 en tournage

Résumé... A partir de 1957, et jusque dans les années 90, William H. Masters et Virginia Johnson, collègues et, plus tard, époux, révolutionnèrent la recherche scientifique sur la sexualité. Obstétricien de renom à l’université de Saint Louis, Masters, fatigué de travailler sur « comment naissent les bébés », décida, contre l’avis de ses supérieurs, de comprendre « comment on fait les bébés ». D’analyser le désir, le plaisir, l’orgasme, en recrutant des centaines de volontaires, prêts à jouir – seuls ou à deux – pour la science. Showtime, la chaîne de Dexter et Homeland, lançait ainsi Masters of sex, une série historique retraçant l'histoire vraie de ce gynécologue qui, en 1957, décide de mener avec son assistante la plus grande étude moderne jamais réalisée sur la sexualité humaine.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Les costumes et le décor l'époque et le ton caustique de Mad Man, deux acteurs étonnants, un scénario improbable, et c’est parti pour les débuts de la gynécologie, la découverte du sexe féminin, du désir (non ? Si !), du plaisir (re-non ?, re-si !) par la science ! Une histoire vraie.
Alors oui, évidemment, ça parle des hommes, des femmes, de leur désir et de leur plaisir. Alors oui, évidemment, j’ai regardé. Et j’ai beaucoup appris. Une plongée dans l’histoire de la femme, mais aussi dans les circonvolutions du couple et des contradictions de la société américaine.
On soupçonne que la femme, comme l’homme, doit avoir du désir et du plaisir, on aime la liberté du personnage de Virginia Johnson : une femme libérée qui aime le sexe et qui l'assume, mais en même temps cette femme-là dérange tellement ! Se pose alors la question de la place de la femme perçu d'abord comme une mére, de ses désirs, de sa féminité, de sa relation à la sexualité.
La bonne nouvelle, c'est qu'alors que 90%  des adultes seraient incapables de dessiner la forme exacte d'un clitoris (amis incultes ouvrez vos yeux ici...>>) en fait quelques scientifiques s'y interessaient quand même depuis des années. Voyage au centre de la sexualité...

La presse en parle...
Télérama.fr :  "Masters et Johnson, les chercheurs d'orgasme de “Masters of sex”", une série plus qu'excitante. Passionnante réflexion sur la libération sexuelle, “Masters of sex” nous dit tout sur les pionniers de la recherche scientifique sur l'orgasme. Un pur plaisir...." « …(1) On n’est pas obligé, même soixante ans après les événements, d’avoir lu l’essai majeur de Masters et Johnson, Les Réactions sexuelles, publiées en 1967 chez Robert Laffont. »

serieTv.blog.LeMonde.fr : "Subtile digression sur un sujet délicat. Cette série n'est pas seulement une très bonne surprise. Elle est une fiction animée par une grande intelligence et par une réelle subtilité sur un sujet tout à fait propice soit à la caricature, soit à la gêne rigolarde, soit à la simplification égrillarde. "

Lesinrocks.com  : "La série “Master of sex” ausculte les fondements scientifiques du désir. En direct des années 50, ‘Master of Sex’ analyse les blocages d’une société puritaine et balaye les rapports d’un pays à son intimité. Chaud et froid en même temps.."

Voir le teaser…>>



Les infos complètes sur Wikipédia…>>
Le site officiel...>>



Cha regarde trop de séries est sur Facebook

Cha regarde trop de séries
Cha regarde trop de séries
Facebook allez hop... ça y est, vous pouvez nous suivre sur facebook en cliquant ici ...>>

Game of Thrones hors normes

 Game of Thrones
 Game of Thrones
Notre «âge d'or» actuel de la fiction télévisée a largement été marqué par une obsession d'authenticité. Tout est toujours le reflet de quelque chose d'autre et cette autre chose c'est nous, tels que nous étions et tels que nous sommes. Des séries telles que #Deadwood et #MadMen sont des merveilles obsessionnelles du détail historique, tandis que Les Sopranos et Breaking Bad proposent des études de familles américaines si nuancées que nous avons l'impression d'être assis dans leur salon.

Même des objets emblématiques du passé comme Battlestar Galactica sont ré-imaginés pour en faire des allégories géopolitiques de pointe. The Wire –à mon avis la meilleure série de l'histoire– constitue l'apogée de cette tendance, un travail si rigoureux d'un point de vue journalistique qu'il est enseigné dans les cours de sociologie d'universités renommées.


#GameOfThrones, la série fantastique de #HBO basée sur la saga encore inachevée Le Trône de fer de l'auteur George R.R. Martin, n'appartient pas à la même catégorie. Elle parle de sabres, de sceaux, de dragons et de zombies férus de bébés gelés et elle n'a décidément pas l'ambition de transcender ces attributs ou d'en faire une critique ironique. En tant que telle, elle représente une étrange convergence de hiérarchies, un travail de genre (le fantastique) que l'on n'associe pas traditionnellement à quelque chose de prestigieux, dans une forme (télévisuelle) récemment devenue prestigieuse, sur la chaîne (HBO) associée à cette transition de la façon la plus iconique qui soit.
Game of Thrones est une série follement distrayante et immensément... lire la suite sur Slate.fr...>>
Source Slate.fr